1823, Mississippi, la loi établie qu’un esclave qui apprend à lire encours la peine de mort.
Imaginez pousser la porte d’une cabane sans fenêtre. Une lampe fume et projette des ombres mouvantes. Dans la poussière, un garçon noir de quatorze ans traîne une chaîne rouillée. Cette chaîne marque sa condition ; esclave. Son nom : Frederick.

Un midi brûlant, un garçon blanc lit à voix haute près du quai. Le mot « liberté » claque dans l’air. Frederick ressent un vertige. Il veut comprendre ces signes qui courent sur le papier.
La loi l’interdit. Le fouet veille. Il hésite. La peur murmure et lui somme de rester. Mais la curiosité s’est révélée et elle est déjà très forte. Ce tiraillement va durer des semaines.
Puis Sophia, la femme du maître entre dans la vie de Frederick. Elle trace un A dans la cendre. Le monde bascule. Frederick a trouvé un mentor qui le pousse dans sa quête. Mais cela ne plait pas au maître qui arrache la craie, promet la mort aux esclaves qui lisent.
Une porte se ferme. Mais Frederick a pu apercevoir ce qu’il avait derrière.
Chaque soir, il vole un journal froissé. Il cache les pages dans ses hardes. Il troque du pain contre des leçons auprès des dockers. Il répète les lettres sur un mur suintant. La cabane devient école.
Mais encore une fois, le monde semble être contre lui. Les gardes frappent. Le doute revient. Il manque de céder. Un mot lu par hasard — « justice » — ranime son feu et il décide de fuir. Le savoir lui a fait comprendre que sa situation était injuste. Il saute dans un train et rejoint le Nord.
Libre, il transforme son silence en voix. Il écrit son histoire. Trente mille lecteurs l’entendent dès la première année. Lincoln l’écoute. Washington l’envoie à Haïti. Il revient, le dos droit, la plume haute. Son regard porte désormais l’aube d’un monde neuf pour tous à venir. Il se battra toute sa vie pour les droits civiques pour tous.
« Une fois que tu sais lire, tu es libre pour toujours. »
Frederick Douglass, 1845
Si l’on vous interdisait de lire, quel texte voleriez-vous ?
Point de liberté sans éducation
C’est en travaillant sur cet article que j’ai eu le plaisir de découvrir la vie de Frederick Douglass. Je ne le connaissais pas hier encore. Mon envie d’apprendre m’a mené à ses mémoires, à ses chaînes rompues par un simple alphabet. Sans cette curiosité, je serais passé à côté d’un guide qui prouve que le savoir ouvre la serrure de toute prison.
J’ai trouver son histoire inspirante. Elle correspond parfaitement à ce que je souhaite exprimé dans cet article. Alors, je n’ai pas pu m’empêcher de le commencer par cette histoire.
Je pense qu’il n’y a pas de liberté sans éducation. Et je vous propose de comprendre avec moi pourquoi je suis si confiant dans cette affirmation.
Définissons le terrain.
La liberté est la capacité d’agir, de penser, de choisir.
L’éducation réunit l’école, le terrain, le mentor et l’autoformation.
La connaissance utile répond à un besoin, pas à un programme.
La connaissance est une chose que nous construisons depuis des siècles. Pour comprendre à quel point elle est importante, il est intéressant de savoir ce que d’autres en ont compris bien avant nous.
Condorcet et le droit d’apprendre
L’éducation, un privilège d’élite
En Grèce antique, seuls les hommes libres goûtent la « paideia », art de se former. Sans elle, ils restent hors de l’isonomia, l’égalité politique vantée par Aristote.
À Rome, la noblesse engage un précepteur privé. Les autres écoutent au marché et apprennent par imitation.
Au Moyen Âge, le clergé est le gardien du savoir. Les nobles ont accès à l’enseignement des clercs, les paysans n’ont pas le temps de s’instruire.
La Renaissance commence à ouvrir les vannes. L’imprimerie multiplie les livres et élargie l’accès à la connaissance, mais les écoles ouvrent surtout aux garçons nantis.
Au siècle de Rousseau, les salons brillent et les académies débattent. Pourtant, l’atelier manque toujours de lettres.
Tout au long de l’histoire, une chaîne est passer de main en main : clerc, noble, notable. Jamais elle n’a touché le peuple, la femme, l’esclave. Chaque époque illustre la même loi : celui qui lit commande celui qui ne lit pas.
Comprenez que l’accès à la connaissance de façon libre, gratuite et pour tous est une réalité très récente dans l’histoire de l’humanité.
Condorcet approche, une lime dans la poche, prêt à couper la chaîne.
Naissance d’un idéal républicain
1791, au cœur de la Convention. Les murs vibrent du tumulte révolutionnaire. Condorcet lève un manuscrit : ses « Cinq mémoires sur l’instruction publique ». La monarchie vient de tomber ; le savoir doit changer de camp.
Il déclare que l’éducation est un droit naturel, au même titre que la liberté. Il exige qu’elle soit publique, gratuite, laïque. Il affirme que la démocratie mourra si le peuple reste sans livres. Il rappelle que l’instruction protège de l’oppression, comme une lampe chasse l’ombre.
Il insiste sur l’égalité des chances : chaque citoyen doit juger par lui-même les lois auxquels il obéit.
Il ajoute que l’école ne suffit pas ; l’apprentissage doit durer toute la vie.
Ses mots coupent les chaînes de l’Ancien Régime, où seuls les puissants lisaient.
En comprenant cette scène, mesurez-vous pourquoi instruire revient à tenir la clé de votre liberté politique ?
Pourquoi la liberté politique dépend du savoir
Vous tenez un bulletin de vote. Un fil invisible le relie à une main inconnue, prête à guider votre choix. Sans éducation, disait Douglass, le citoyen se laisse manier ; « Tant qu’il y aura des hommes ignorants, il y aura des esclaves. »
La littératie critique forme la paire de ciseaux qui coupe ce fil. Elle consiste à lire, vérifier, comparer, décider. Elle mesure notre capabilité à relier ces 4 compétences. L’OCDE note pourtant une baisse continue des scores : un adulte sur cinq peine à suivre un texte simple. Les chiffres frappent : les enfants de parents diplômés affichent cinquante points de plus que ceux d’un foyer peu instruit.
Amartya Sen nomme capabilités l’ensemble des moyens qui permettent d’agir. Le vote en fait partie. Or l’INSEE montre que 30 % des non-diplômés s’abstiennent, contre 14 % des diplômés. La propagande prospère sur ce terrain. Développez vos capabilités, et le bulletin n’obéira plus qu’à votre seule conscience.
Ne faites pas plaisir aux manipulateurs en leur laissant le champ libre pour vous dire quoi faire. Cherchez à comprendre la forme autant que le fond pour vous défendre contre les discours manipulatoire comme je vous l’explique dans mon article sur le marketing.
De l’idéal de 1791 à la réalité d’aujourd’hui
L’instruction publique naquit pour former le citoyen ; elle accable maintenant l’entrepreneur. Un champ lexical nouveau domine : fiscalité, conformité, norme, administration. Vous devez l’apprendre ou payer l’amende, perdre le marché, manquer les opportunités.
Internet vous livre pourtant chaque guide, chaque mooc, chaque mentor. La liberté d’entreprendre n’a jamais été aussi accessible. Le vrai mur devient la surcharge réglementaire qui change chaque trimestre.
Nous avons aujourd’hui les moyens de nous instruire, de briser nos chaînes et cela très facilement. Pourtant, beaucoup n’osent pas franchir la première porte. Car nous devons maintenant lutter contre nos freins intérieurs.
Les prisons intérieures et croyances limitantes
L’éléphant et le piquet
Imaginez-vous marcher dans une foire rurale. Vous observez un éléphant colossal. Un piquet mince le retient.
Vous questionnez le dresseur.
Il sourit : « Petit, il tirait sans succès. Depuis, il n’essaie plus. »
Quand un éléphant naît dans un cirque, les dresseurs attachent sa patte à un petit piquet enfoncé dans le sol. Le jeune éléphant tire, se débat, essaie de s’échapper… mais le piquet résiste. Il n’a pas encore la force de s’en libérer. Alors, il finit par abandonner.
Les jours passent, puis les années. L’éléphant grandit. Il devient massif, puissant, capable de déraciner un arbre d’un coup de trompe. Mais il reste attaché au même petit piquet, avec la même corde fine. Et il ne tente même plus de partir.
Pourquoi ?
Parce qu’il a appris, depuis tout petit, qu’il ne peut pas.
Ce piquet est une croyance limitante. Vous l’acceptez sans preuve, comme lui accepte la corde. Carol Dweck parle d’état d’esprit fixe.
Quand vous dites « Je ne suis pas fait pour la vente » ou « Le code me dépasse », vous plantez votre propre piquet. Le passé dicte alors le présent.
Je suis sur que vous écartez des opportunités de cette manière. Prenez de la hauteur et demandez-vous les réelles raisons qui vous poussent à ne pas les saisir.
Fixed mindset vs growth mindset
Je vous propose deux portraits.
À gauche, je rencontre Marc. Il répète – « Je ne suis pas fait pour la tech ». Chaque revers confirme son verdict intérieur. Il attend que la société l’épargne et lui permette de garder son travail.
À droite, j’observe Alice. Elle se dit – « Je n’y arrive pas encore ». Elle lit, teste, se trompe, note l’erreur, corrige. Son escalier porte ces mots : « Pas encore » sur chaque marche. Au sommet, le code qu’elle maîtrise valorise déjà son entreprise.
Carol Dweck décrit Marc comme prisonnier d’un fixed mindset : ses aptitudes seraient figées. Alice cultive le growth mindset : le cerveau grandit par l’effort ciblé. La recherche 2019 de Blackwell prouve que cette attitude double la persévérance scolaire.
L’échec devient alors une donnée, non une condamnation. Échouer est une expérience qui nous apporte des informations pour nous aider à faire mieux la fois suivante.
Choisissez votre camp : attendre ou grimper.
Transformer l’obstacle en tremplin
Si vous avez décidé de grimper, repérez d’abord votre blocage. Par exemple : « Je suis nul avec les chiffres ».
Interrogez-le : sur quelles preuves repose-t-il ? Souvent aucune. Et ne vous laissez pas influencer par les critiques de personnes qui ne connaissent pas vos difficultés.
Remplacez ensuite le blocage par un plan. Vous pouvez adopter la méthode DiSSS de Tim Ferriss. Vous décomposez la gestion de votre compte bancaire en quatre gestes :
- suivre les dépenses,
- fixer un budget,
- automatiser l’épargne,
- prévoir les prélèvements.
Gardez le suivi des dépenses, geste qui offre 80 % du gain. Réservez vingt minutes chaque semaine pendant trois mois et annoncez le défi à vos proches. En étudiant ce qui n’a pas fonctionné comme prévu, vous pouvez identifier les causes et opérer des changements dans le processus pour l’améliorer.
Le piquet cède ; vous posez le premier pas en terrain ouvert. Nous pouvons maintenant étudier les chaînes extérieures.
Les verrous sociaux, reproduction et habitus
Bourdieu nomme « habitus » l’ensemble de réflexes appris qui dirige vos choix. Un ensemble de croyances limitantes apprises par la reproduction sociale, la culture et même les préjugés familiaux.
Imaginez être au bord d’une piste. Deux coureurs se placent. L’un part cinq mètres devant. L’image choque mais les chiffres confirment. En France, 91,7 % des enfants de cadres entrent en seconde générale et techno. Seuls 40,6 % des enfants de parents inactifs franchissent la même porte. La DEPP l’a publié en 2023.
Comment cela arrive ? L’école encense le « capital maison ». Les livres, les mots, les voyages déjà offerts dans certains foyers deviennent des points d’avance. Pierre Bourdieu l’appelle reproduction sociale. Vous arrivez sans ces codes ? Vous partez plus loin de la ligne d’arrivée.
Doit-on blâmer l’école ? Vaste sujet que je ne compte pas traiter dans cet article.
Personnellement, je constate la pente. Vous pouvez la nier ou la gravir. Commencez par nommer les codes qui vous manquent : l’anglais, la prise de parole, le réseau. Puis cherchez le premier allié pour chaque code. La prise de conscience déplace déjà votre point de départ.
N’attendez pas que la société corrige ces inégalités. Constatez-là, prenez CONSCIENCE de cette réalité et agissez en conséquence. Ce n’est pas parce que la vie vous a placé à un endroit que vous ne pouvez pas agir pour en changer.
L’ère de l’accès absolu : Internet et IA
Le savoir à portée de clic
Nous avons tous un smartphone. Un océan de cours tourbillonne dans cette paume. L’Union internationale des télécommunications chiffre le miracle : plus de deux humains sur trois profitent du haut débit en 2024. Coursera recense vingt-trois mille programmes gratuits. Vous voulez coder ? Filmer ? Parler mandarin ? Tout attend derrière un simple geste.
Hier, nous devions traverser la ville pour trouver une bibliothèque fermée ou payer des frais universitaires hors de portée. Aujourd’hui, une borne Wi-Fi publique suffit. Un podcast de dix minutes comble un trou d’agenda. Une vidéo courte démonte une équation que nous ignorions.
Pourtant, la fracture n’est plus technique ; elle devient motivationnelle. Beaucoup n’osent pas cliquer sur « Start ».
J’ai appris à filtrer. J’entre un besoin clair, je lis trois avis, je bloque vingt minutes. Ce rituel transforme l’immense vague de savoir en source précise. Faites de même ; l’océan vous rendra chaque goutte investie.
L’IA, tuteur personnel 24 h / 24
iPrenez votre smartphone et invoquez GPT-4o.
En dix secondes, il résume un chapitre dense, propose un quiz, puis reformule pour débutant, intermédiaire, avancé. Vous pouvez poser une question précise ou en poser vingt d’affilée. Il répond sans soupirer, avec patience et corrige chaque erreur.
Stanford confirme le progrès : les élèves coachés par IA retiennent 15 % de plus. Il permet de gagner du temps. Un modèle prépare vos fiches, croise cinq sources, crée un cas pratique adapté à vos besoins.
Je ne gaspille plus des heures de recherche. Je délègue la corvée, je garde la pratique.
La barrière finale : la volonté
Dans quel état est votre bureau ? Combien d’onglets sont ouverts ?
Beaucoup se lancent dans une formation sans la finir. Ou encore commencent un livre pour ne jamais le finir. L’avalanche d’informations vous ensevelit comme des livres numériques qu’il faudrait pelleter.
La solution tient dans une décision minuscule : bloquez vingt minutes fixes chaque jour. Choisissez un objectif S.M.A.R.T., notez votre avancée dans un journal. Signez alors un contrat avec vous-même : une tâche, un créneau, aucune excuse. Dégagez enfin le chemin. Chaque pelletée dévoile une page utilisable demain.
Choisir son savoir
Trop d’options, zéro décision
Nous avons poussez ensemble une porte virtuelle et découvert un buffet géant. Des milliers de formations, de livres, de connaissances, tous plus appétissants. Votre assiette en main, vous n’avancez pas. Vous passez d’un plat à l’autre, reniflez, comparez. Mais votre esprit à déjà saturé avant même la première bouchée.
L’offre d’apprentissage explose chaque heure. Coursera ajoute mille options par trimestre. Cette abondance cache un piège appelé « analysis paralysis ». Votre motivation initiale bute sur la peur de rater la meilleure option. Vous remettez la décision à demain, puis à jamais.
Je l’ai vécu. J’ai testé le dessin, le japonais, la finance, parfois la même journée. Résultat : aucune compétence utilisable, une frustration croissante. Je tournais dans un rayon de livres infini, sans jamais passer en caisse.
Ce blog en est la preuve. J’en ai eu l’idée il y a deux ans et je ne me lance que maintenant.
J’ai trouvé une règle simple. Avant d’ouvrir un onglet, je définis le besoin précis en douze mots. Si le cours ne répond pas à ces mots, je ferme la page. Je limite ensuite mes choix à trois options maximum. Je décide dans l’heure, je démarre dans la journée.
Je vous invite à tester ce filtre. Écrivez votre besoin, cherchez trois ressources, tranchez sans délai. Votre assiette se remplit enfin, et vous sentez le goût du progrès.
Appliquer d’abord, corriger ensuite
Je viens d’étudier un module sur le pitch. Je résiste à l’envie de revoir la théorie. Je choisis plutôt un client réel et je teste ma phrase-clé. Je note sa réaction, je corrige un mot, je relance. Ce cycle me permet d’apprendre à partir du réel, de collecter des informations afin de pouvoir affiner ma compétence.
Votre obstacle tient à la peur du faux pas public. Affrontez-la par le prototypage rapide, la version fonctionnelle de votre compétence sans attendre qu’elle soit parfaite. Écrivez une version brouillon, présentez-la à un pair, recueillez un retour, ajustez. Chaque itération grave la compétence plus fort qu’une heure de lecture supplémentaire.
Encore une fois, le travail que je fais sur ce blog en est un parfait exemple. Je n’attends pas d’avoir acquis toutes les compétences oratoires que je vise pour me lancer. Ce n’est pas bien grave de toute façon, pas grand monde ne va lire ces lignes puisque ma popularité est très faible au moment où je les écris.
Quel savoir changera votre horizon ?
Vous vous tenez devant une porte fermée. La poignée prend la forme d’un livre lumineux. J’attends que vous l’ouvriez. Quel savoir précis commencerez-vous à apprendre cette semaine pour pousser cette porte et élargir la décision que vous laissez dormir ? Notez-le, partagez-le, engagez-vous. Votre capacité grandira dès le premier pas franchi.
Votre prochaine chaîne à briser
Vous avez déjà brisé d’autres verrous dans votre vie. Je le sais, et vous le savez. Cette fierté gonfle votre élan. Pourtant, j’entends des murmures : on doute encore de votre capacité à changer ; allez-vous laisser dire ?
Le défi dépasse cependant votre ego. Il touche votre avenir et celui de ceux qui vous regardent grandir : vos associés, votre équipe, vos enfants. Chaque compétence que vous conquérez devient un levier pour eux. Vous influencez sans discours, simplement par la trace que vous laissez.
Alors choisissez. Apprenez. Montrez que la liberté s’écrit à la première personne. Une fois la chaîne brisée, il reste à choisir quelles portes ouvrir. La prochaine porte s’appelle influence : transformer le savoir en impact. Je vous invite à explorer ce territoire et à façonner le récit que les autres suivront.
Et n’oubliez pas de partager avec plaisir des conversations conviviales en y mettant la forme.
Sources
- Changer d’état d’esprit: une nouvelle psychologie de la réussite, de Carol S. Dweck
https://books.google.fr/books?hl=fr&lr=&id=TeZs6MGwCfYC - Héritage et transmission dans la sociologie de Pierre Bourdieu, de Anne Jourdain et Sidonie Naulin
https://shs.cairn.info/article/IDEE_166_0006?tab=texte-integral - La responsabilité sociologique : retour sur l’entreprise critique de Pierre Bourdieu, de Mathieu Hilgers
https://journals.openedition.org/rsa/607 - L’éducation et la formation tout au long de la vie : une orientation européenne, des régimes d’action publique et des modèles nationaux en évolution, d’Éric Verdier
https://www.erudit.org/en/journals/socsoc/2008-v40-n1-socsoc2509/019478ar/abstract/ - Processus de formation et apprentissage tout au long de la vie, de Peter Alheit and Bettina Dausien
https://journals.openedition.org/osp/563 - Pensée créative divergente chez les jeunes et les adultes plus âgés
https://link.springer.com/article/10.3758/s13421-016-0605-z - Ministère de l’Éducation nationale – DEPP, RERS 2023, fiche 29 « Les inégalités sociales de parcours scolaire »
https://www.education.gouv.fr/media/158526/download - Les adultes possèdent-ils les compétences nécessaires pour s’épanouir dans un monde en mutation ?
Évaluation des compétences des adultes 2023
https://www.oecd.org/fr/publications/les-adultes-possedent-ils-les-competences-necessaires-pour-s-epanouir-dans-un-monde-en-mutation_e8d52c02-fr.html - Vingt ans de participation électorale : en 2022, les écarts selon l’âge et le diplôme continuent de se creuser
https://www.insee.fr/fr/statistiques/6658143